Sample of a promotional text for HIIT training.
English to French.
In both young and older adults, HIIT training increased aerobic capacity, insulin sensitivity (which reduces diabetes risk), mitochondrial function, lean muscle mass, and muscle strength. Adults who only did resistance training increased insulin sensitivity and lean muscle mass, but not aerobic capacity or mitochondrial function. The group who did both types of exercise had modest gains in lean muscle mass and aerobic capacity, as well as modest gains in insulin sensitivity in young people.
The most exciting finding, though, is that HIIT increased mitochondrial function in young people by about 49 percent and in older adults by 69 percent—effectively “catching up” to the cellular function of the young ‘uns. (Bonus benefit: Science says that hard exercise is actually more fun.) In the combined training group, however, only the young people saw an increase (38 percent) in this type of cellular function. And that’s not the only cellular-level wizardry that happens with exercise. The researchers found evidence that exercise encourages cells to boost mitochondrial proteins and proteins responsible for muscle growth, as well as increase muscle protein content. (This is big because muscles cells don’t reproduce easily, according to the researchers.)
Autant chez les jeunes adultes que chez les aînés, l'entraînement HIIT a amélioré la capacité aérobique, la sensibilité à l’insuline (qui réduit le risque de diabète), la fonction mitochondriale, la masse musculaire maigre et la puissance musculaire. Ceux qui n’ont fait que de l'entraînement de résistance n’ont augmenté que leur sensibilité à l’insuline et leur masse musculaire maigre, mais pas leur capacité aérobique ou fonction mitochondriale. Le groupe qui a fait les deux types d’exercice a eu un gain modeste de masse musculaire maigre et de capacité aérobique, et aussi un gain modeste de sensibilité à l’insuline chez les jeunes.
Cependant, la découverte la plus prometteuse est que le HIIT augmente la fonction mitochondriale d’environ 49% chez les jeunes et de 69% chez les aînés—”rattrapant” effectivement les jeunes sur le plan de la fonction cellulaire (avantage bonus: la science a prouvé que l’exercice vigoureux est plus amusant!). Toutefois, dans le groupe d’exercices combinés, seuls les jeunes ont vu cette fonction cellulaire s’améliorer (de 38%). Et ce n’est pas la seule curiosité qui se produit au niveau cellulaire avec l’entraînement. Les chercheurs ont découvert que l’exercice encourage les cellules à stimuler les protéines mitochondriales et les protéines responsables du développement musculaire, et augmente également la teneur en protéines des muscles (c’est impressionnant car, selon les scientifiques, les cellules musculaires ne se reproduisent pas facilement).